JMJ : qui es-tu, Ô toi qui pars ?
8 juillet 2016 5 commentaires sur JMJ : qui es-tu, Ô toi qui pars ?C’était il y a cinq ans, dans les studios d’une radio nationale, ma toute première participation à une émission. Des
C’était il y a cinq ans, dans les studios d’une radio nationale, ma toute première participation à une émission. Des
J’ai beaucoup marché ces derniers jours, comme tous les ans depuis que j’ai trouvé du réconfort sur les routes du
Je suis arrivé sans m’y attendre à cet âge intermédiaire auquel, bien qu’encore jeune, on ne travaille plus seulement pour
Son visage et son nom passent peut-être déjà au second plan, pendant que nous pensons déjà à la consultation britannique
Permettez, je profite du départ de ma mère en villégiature pour tenter ici une approche qui me vaudrait le bannissement
Le renouveau, manifestement, c’est pas pour bientôt. Car s’il y a bien une tradition aussi erronée que constante dans le
Que fête-t-on à Verdun, Monsieur le Président ? Ses 306.000 tués ? Ses 406.000 blessés ? Que fête-t-on, Monsieur le
Telle est peut-être la seule vision que nous devons avoir, constamment devant les yeux, dans ces affaires. Ce qui doit
Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou
Si le monde était ce qu’il doit être à mon sens, alors l’unique leçon que le personnel politique devrait retenir
Les attentats se suivent et se ressemblent. Les réactions également. Nous pleurons, nous « n’avons pas peur » – « not afraid »,
« Quand on met de la merde dans un ventilateur, il faut s’attendre à ce que tout le monde soit éclaboussé. »
Rien n’est moins chrétien que de serrer sans fin dans ses bras le cadavre de la vieille chrétienté : il
A quoi joue Valls, avec sa muleta ? On jurerait qu’il tente de rendre furieuse la bête, provoquer l’impossible, susciter
Il semble soudain que les versets, adages et paraboles populaires sur un certain spectre connaissent ces jours-ci une vraie désaffection,
Mon Dieu, je peux me le dire : j’aurais été vaillant. Bien sûr, je m’auto-flagorne, et c’est un peu vulgaire.
Je n’étais pas certain que la déférence pour les textes, l’intangibilité d’un texte fondamental, l’invocation répétée de la loi que
Nicolas Sarkozy a compris l’envie de politique autrement, l’exigence citoyenne manifestée dans les urnes lors des dernières élections régionales. Mieux,
Je me demandais soudain, comme beaucoup l’ont fait, ce que peut ressentir l’homme que ses pairs ont élu pape. Lorsqu’il
C’est peu de dire que Jean d’Ormesson et Régis Debray, pour être tous deux normaliens, n’en ont pas pour autant