Le temps de mourir
28 avril 2008 33 commentaires sur Le temps de mourirMarie de Hennezel le dit à quelques reprises : chaque accompagnement d’une personne mourante qu’elle a réalisé était une aventure.
Marie de Hennezel le dit à quelques reprises : chaque accompagnement d’une personne mourante qu’elle a réalisé était une aventure.
Je le critique, tout du moins intérieurement, suffisamment souvent, pour ne pas oublier de tirer mon chapeau à Rue89 pour
Voilà bien un symptôme français : sur un tel dossier, voilà que l’on confie une mission pour l’évaluation de la
Jean Léonetti, l’inspirateur de la loi qui porte son nom, propose pas moins que de dépénaliser les « homicides par compassion ».
Sous mon précédent billet, Isabelle soumet une objection assez fondamentale à ceux qui ne sont pas favorable à la légalisation
Le cas de Chantal nécessitait-il, nécessite-t-il encore, que l’on modifie la loi Leonetti ? Le cas de Chantal apporte-t-il un
Sommaire de cette première livraison hebdomadaire : (i) vanité, (ii) capitalisme, (iii) euthanasie, (iv) « amendement ADN« Serait-ce, pour Muriel Barbery,
C’est sans crainte de la contradiction qu’un militant de l’euthanasie, responsable de l’association de Marie Humbert Faut qu’on s’active, a
Je ne croyais pas, en réagissant à l’article de Sylvain Etiret, que la résurgence du débat sur l’euthanasie était si
L’euthanasie revient dans le débat. A quelques minutes d’écart, je reçois un mail par lequel on me fait part d’une
Je sais que je serai partiel, je sais que je serai sommaire, je sais qu’ouvrir ce débat ici est peut-être