• Unis ou soumis

    Unis ou soumis

    Il y a huit ans, Trump amusait presque. Aujourd’hui, c’est l’effroi. Ses mensonges grossiers, son mépris de la loi, sa prédilection pour les dirigeants autoritaires sont autant de signaux d’un basculement dans une ère américaine de brutalité. Face à la capitulation américaine annoncée en Ukraine, l’Europe doit choisir : s’unir ou se soumettre. L’heure n’est plus aux hésitations, mais à la lucidité et à l’action.

  • Ni fou ni stratège

    Ni fou ni stratège

    La « stratégie du fou » mise en scène par Trump se révèle aussi spectaculaire qu’inefficace. Ni en Corée du Nord, ni en Iran, ni en Afghanistan, elle n’a produit de résultats concrets. Se voulant redoutable, elle finit souvent par affaiblir son instigateur, à l’image de Saddam Hussein ou Kadhafi. Tactique ou dérive, elle s’avère surtout stérile.

  • Le soin de la vérité

    Le soin de la vérité

    Un soin soigne. L’euthanasie et le suicide assisté tuent. On peut vouloir les autoriser, mais pas les travestir en actes médicaux sans trahir le sens des mots. On peut faire un choix politique mais, si on le fait, que ce soit dans la clarté.

  • [Tribune] Laissons les députés voter en conscience

    [Tribune] Laissons les députés voter en conscience

    Scinder les sujets soins palliatifs et euthanasie répond à un objectif de clarté. Sur la nature du soin, sur la nature du vote des députés. Clarté que les dérives sémantiques des partisans de l’euthanasie n’honorent définitivement pas.

  • En avant, calme et droit

    En avant, calme et droit

    Certains voient le retour de Trump comme un appel à singer ses méthodes. Mais l’Europe a une autre histoire, une autre culture, forgée par des luttes et des sacrifices que l’Amérique ignore. Nous devons revendiquer notre héritage, notre souveraineté, loin des errements américains. L’Europe doit s’affirmer, pas se soumettre aux volontés d’un monde qui privilégie les intérêts commerciaux et les mensonges numériques. Nous sommes l’Europe, fiers et unis.

  • Croire en la France ?

    Croire en la France ?

    Il existe une foi inébranlable en la France, nourrie par l’idée d’une grandeur éternelle. De Gaulle y croyait, tout comme Julliard, qui évoquait les renaissances après l’effondrement. Mais cette conviction peut être dangereuse si elle remplace l’action. Aujourd’hui, alors que la crise frappe, il faut éviter que l’Espérance devienne un refuge passif, car il n’est pas dit que la France se relève et, à tout le moins, pas sans souffrir.

PAN!

16 février 2007 42 commentaires sur PAN!

Après les SNLE, les PAN. Sarko en veut… deux ! Comme ma fille. Ségo gère son complexe familial : elle