Et nous « débattrons » jusqu’à la mort
9 octobre 2017 20 commentaires sur Et nous « débattrons » jusqu’à la mortCent quarante caractères, et pourtant ce tweet d’Yves Jégo est incroyablement riche : « il est indispensable d’ouvrir un vrai
Cent quarante caractères, et pourtant ce tweet d’Yves Jégo est incroyablement riche : « il est indispensable d’ouvrir un vrai
Encore un livre, me direz-vous. Oui. L’actualité peut attendre. Car aujourd’hui est un temps à contre-temps. Un temps à prophètes.
C’est, a confié Dominique Wolton, la phrase qui l’a le plus marqué lors de ses entretiens avec le pape François.
Puisque vous êtes tout de même les premiers concernés mais que je réalise que vous n’êtes pas nécessairement tous lecteurs
Et la mécanique ordinaire se met en œuvre, comme s’il s’agissait de suivre le plan convenu à l’avance. Une checklist.
J’ignore même si je dois encore parler de lui au présent. Lui m’appelait « mon ami ». « Bonjour mon ami » était
Tempêter et, le clavier vibrant d’indignation, appeler à la mobilisation, je sais faire. J’ai fait, je peux le faire encore.
Donald Trump porte atteinte à rien moins qu’à la vérité et à la démocratie, et nous avons des raisons de nous en inquiéter.
Vive la France ou Nique la France, le débat n’est pas si médiocre qu’il paraît. C’est le mimétisme identitaire qu’il faut combattre. Le retour de la race comme enjeu politique qu’il faut affronter.
Être en paix. Est-ce vraiment ce que nous devons-nous souhaiter ?
Qu’il laisse un champ de ruine ou dégage un vaste horizon, le raz-de-marée n’a pas épargné les chrétiens en politique.
Onfray n’est-il pas la meilleure figure de la décadence qu’il dénonce ?
Ils auront peut-être tout de même ma haine, parfois. Mais ils ne m’auront pas, moi.
Que nul « catholique d’identité » ne se croie l’obligation d’être un « catholique identitaire ».
Emmanuel Macron séduit. Mais on ne se donne pas comme ça, quand on est bien élevé(e). Qu’il fasse au moins sa cour !
Le chemin de croix est fini. La catastrophe, insoupçonnable il y a six mois, annoncée depuis deux mois, s’est produite.
Nous avons de bonnes raisons d’être déçus, d’être amers, d’être en colère. Mais nous avons aussi une responsabilité.
« Tu nous raconteras, à ton retour ». Mais revient-on vraiment de Terre Sainte ? En suis-je déjà revenu, ou y suis-je encore un peu ?
Once again, ce billet de temps de campagne ne traitera pas ostensiblement de campagne. Pas de cabinet noir ou d’insularité
Lors d’un débat récent et bientôt diffusé, un interlocuteur dont le nom importe moins que l’idée qu’il diffuse a évoqué