Chez nous
27 mai 2019 34 commentaires sur Chez nousLes Républicains ont perdu, peu ou prou, tous les scrutins depuis 2007, en poursuivant chaque fois la même stratégie, qui colle au FN.
Les Républicains ont perdu, peu ou prou, tous les scrutins depuis 2007, en poursuivant chaque fois la même stratégie, qui colle au FN.
Dans la foulée des dubia et autres tartuffes suppliques, des « théologiens et universitaires reconnus », le pape utiliserait des ornements et objets LGBT et sataniques. Faut-il le brûler ?
Qui n’a pas vu, à travers cette cathédrale souffrante, sa propre Église ? Qui n’a vu sa charpente ruinée et sa flèche, main tendue vers le Ciel, emportée ? Qui ne s’y est vu, le cœur et l’esprit ravagés par la fournaise ? N’avons-nous pleuré que sur Notre-Dame, ce lundi-là ?
Ne serait-ce une inclination chrétienne persistante, je succomberais tout entier aux délices d’un sentiment antibritannique de bon aloi que les mauvaises performances du XV de France ne font qu’aviver, et à la joie coupable de voir projeté sur les falaises de Douvres le drapeau européen frappé d’un SOS
Espérer notamment que, humiliés nous-mêmes, nous rejoignions les humbles, les blessés, les esprits brisés, ceux qui n’attendent de nous rien de plus qu’une place à table, une main secourable et un cœur qui écoute.
Jean-Pierre Denis a un grain. C’est précisément cette époque qu’il choisit pour s’échapper.
Pourquoi ne pas parler d’autre chose ? J’aimerais que cette crise n’occupe pas tout mon horizon – ou presque. Nous
Il ne s’agit pas d’accuser encore prêtres et évêques. Je sais ce que je leur dois. Mais nous sommes en plein état d’urgence ecclésial. La révolte qui habite les cœurs et les entrailles des fidèles de toutes sensibilités ne peut pas rester lettre morte.
Nous avions un genou à terre. De nouvelles révélations nous ont fait fléchir le second, de force. Pour tout dire, ce n’est pas une attitude incongrue pour un chrétien.
L’Église se trouve une fois encore au centre de révélations qui laissent plus d’un fidèle abattu. Elles ne laissent pas indemnes, mais elles ne disent rien du cœur de la foi.
Les fiches sont en ligne. On invoquait la menace des pouvoirs totalitaires, en fin de compte c’est la masse anonyme qui s’empare de nos traces numériques. Les foules sentimentales ont cédé le pas à la meute brutale. Il n’y a plus ni pardon ni mesure.
Pilate et Jésus, voilà l’image d’une confrontation entre le pouvoir politique et la vérité. Aujourd’hui, entre fakenews et mensonges assumés, chercher et coller à la vérité relève d’une prise d’engagement
Les convictions de François-Xavier Bellamy sont contestées et c’est le jeu démocratique. Mais la levée de boucliers que suscite son investiture cache d’autres intentions, jusqu’à lui dénier la seule légitimité d’intervenir. Qu’on le soutienne ou qu’on ne le suive pas, cette nouvelle manifestation d’intolérance dans notre pays est inacceptable et délétère.
Faisons la grâce d’un instant d’attention à tous ceux qui acceptent le risque de donner leur vie pour la France et pour les Français, qu’ils soient d’en haut ou d’en bas, d’un pavillon périphérique ou de la rue de Trévise
« There is no society. » Ces derniers temps, cette phrase de Margaret Thatcher m’obsédait. Peut-on nier l’existence de la société
Le monde a changé, depuis 1958. Même amendée depuis, peut-on penser que notre constitution suffise à répondre aux aspirations légitimes de participation à la décision ?
Toutes les frustrations d’une France reléguée semblent aujourd’hui coaguler. La réponse devrait être stratégique et structurelle. Les politiques en sont-ils capables ?
La fin de vie n’est pas qu’une affaire de choix personnel. Les personnes fragilisées ont besoin de la protection de la société.
Je me souviens de ce restaurant oriental, j’étais enfant. Le serveur était un ancien harki. Ma mère, qui a vécu
Pardonnez-moi d’avoir titré comme pour un mauvais, ou juste un triste film. L’un de ceux dans lesquels un ancien combattant,