Le record du tour du monde à la voile en solitaire, comme toute performance notable, provoque un soudain regain d’intérêt pour la discipline, la mer, son romantisme. Pour preuve, ce magnifique billet d’Hugues – une vraie plume – Trente-cinq jours (ou presque) sans voir la terre, dont je ne vous livrerai que le chapeau :
« En mer, n’en déplaise aux passionnés du spectacle magnifique d’une nature en mouvement permanent, on s’emmerde. »
Hugues Serraf, journaliste et blogueur français, le 22 janvier 2008
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Ah, merci pour le compliment ! Et si tu repasses par chez moi et que tu jettes un coup d’oeil à la photo, tu verras que j’ai remis la main sur le vrai bateau !
« En mer, n’en déplaise aux passionnés du spectacle magnifique d’une nature en mouvement permanent, on s’emmerde »
le marin, le vrai, pourrait reprendre à son compte cette assertion en remplaçant « mer » par « terre »!
L’intérêt de la phrase n’est pas dans sa véracité.
J’ai beaucoup aimé ce récit
– le choix des loisirs… l’idée d’un crime en huis-clos style Agatha Christie…la joie de retrouver la magnifique architecture des H.L.M. du Havre etc…
et le style de Hugues Serraf que je ne connaissais pas.
Le ciblage publicitaire de ce billet laisse deviner une interprétation large du vocabulaire marin…
Non, non, c’est la mention du nom d’Hugues qui provoque toujours ce genre de choses ! 😉