Ecrire. Il est vrai que l’expression dans le monde réel trouve finalement peu de place. Ceci expliquant probablement le succès des blogs. Ecrire pour s’opposer à l’état figé du monde. Ecrire pour se construire, écrire pour approfondir, écrire pour tenter d’imaginer une réalité non imposée. Dompter la force sauvage des mots, les assembler pour qu’ils permettent la construction d’un sens intime, hors nécessité. L’écriture au fond est un engagement solitaire – à ne pas confondre avec la complaisance de la tribune et de ses attentes, qui mène, de ci de là, la définition du lien social au toujours plus normatif.
Saviez-vous qu’ainsi, aujourd’hui, il devient parfois tout à fait impossible d’écrire ? Comme une interdiction, non pas de s’exprimer, mais de bâtir pour soi et en soi, loin de tous les micros, de toutes les scènes ? Totem et tabou, dont seule la psychanalyse s’est réellement emparée, reproduits au sein de l’expression avec ses incontournables, ses clichés et ses symboles. Affaire de spécialistes – en somme de cette éternelle bonne éducation.
Merci pour vos commentaires ! Le premier fait référence à un article en allemand, que je ne comprends pas. Le second est en français mais je dois avouer que je ne l’ai pas davantage compris.
🙂
me voilà rassurée !
🙂 C’était pour la vidéo 🙂 je suis tombée par hasard sur ce journal et en regardant la vidéo je me suis aperçu que Charles’ a bien phantasmé sur un geste tout à fait banal de NS …
Pardon de ne pas avoir été assez claire.
Moi aussi j’ai parfois du mal à me comprendre 😉 Une réflexion sur la norme de l’expression, sur ce que l’on trouve intéressant – ou pas.
Il n’y a vraiment pas de quoi faire des commentaires gras tirés par les cheveux :
http://www.stern.de/politik/ausland/:Frankreich-Hochzeitsglocken-Elys%E9e-Palast/606940.html
Ecrire. Il est vrai que l’expression dans le monde réel trouve finalement peu de place. Ceci expliquant probablement le succès des blogs. Ecrire pour s’opposer à l’état figé du monde. Ecrire pour se construire, écrire pour approfondir, écrire pour tenter d’imaginer une réalité non imposée. Dompter la force sauvage des mots, les assembler pour qu’ils permettent la construction d’un sens intime, hors nécessité. L’écriture au fond est un engagement solitaire – à ne pas confondre avec la complaisance de la tribune et de ses attentes, qui mène, de ci de là, la définition du lien social au toujours plus normatif.
Saviez-vous qu’ainsi, aujourd’hui, il devient parfois tout à fait impossible d’écrire ? Comme une interdiction, non pas de s’exprimer, mais de bâtir pour soi et en soi, loin de tous les micros, de toutes les scènes ? Totem et tabou, dont seule la psychanalyse s’est réellement emparée, reproduits au sein de l’expression avec ses incontournables, ses clichés et ses symboles. Affaire de spécialistes – en somme de cette éternelle bonne éducation.
Merci pour vos commentaires ! Le premier fait référence à un article en allemand, que je ne comprends pas. Le second est en français mais je dois avouer que je ne l’ai pas davantage compris.
🙂
me voilà rassurée !
🙂 C’était pour la vidéo 🙂 je suis tombée par hasard sur ce journal et en regardant la vidéo je me suis aperçu que Charles’ a bien phantasmé sur un geste tout à fait banal de NS …
Pardon de ne pas avoir été assez claire.
Moi aussi j’ai parfois du mal à me comprendre 😉 Une réflexion sur la norme de l’expression, sur ce que l’on trouve intéressant – ou pas.