Moi, je l’aime bien, Woerth
23 juin 2010 188 commentaires sur Moi, je l’aime bien, WoerthFranchement, il a une tête de prévaricateur, ce type-là ? Les lunettes fines et rectangulaires, le crâne franc et droit,
Franchement, il a une tête de prévaricateur, ce type-là ? Les lunettes fines et rectangulaires, le crâne franc et droit,
Christine Boutin n’est pas celle que nous croyons. Amanda Lear non plus. Aujourd’hui, en effet, des catholiques se demandent si
Y-avait-il une seule bonne raison pour libéraliser le marché des paris sportifs ? Quelle est la genèse d’une décision politique
Après Patrick Karam, manifestement adepte du discours guerrier et du close-combat, une autre technique de combat avec David Douillet. Le
En fin de compte, Jean-Paul Huchon se félicitera peut-être que ce mandat ne dure que quatre ans. Si Patrick Karam
Le festival des « leçons du scrutin » est lancé, avec pour point commun le fait que les uns et les autres
C’est une première mi-temps. Et ses résultats confirment les anticipations : le taux des abstentions, le score du Modem, celui
Géraldine, Philippe, Manuel, Nicolas, Françoise se sont abstenus aujourd’hui. Hier soir, à table, Claire, Benoît, Ariane s’interrogeaient encore sur leur
Camarades lecteurs, permettez-moi d’interrompre le cours habituel de ce blog pour vous communiquer deux éléments d’information. Tout d’abord, pour vous
Waterloo, morne plaine, il paraît. Je n’ai jamais foutu les pieds à Waterloo (Station exceptée). En revanche, j’ai tendance à
Cette question a l’air d’importuner tout le monde. Huchon « s’interroge », Pécresse ne commente pas. Et les accusés se font accusateurs.
L’adresse est péremptoire, c’est certain. Mais sans péremption, c’est fini. Désormais, on ne vous entend plus. Plus un propos vraiment
Il est certainement déloyal de présenter Christian Estrosi comme un homme qui porterait la substantifique moelle de la pensée sarkozyste.
Le saviez-vous ? IL y a de mauvaises langues en politique. Si vous imaginiez – comme certains ont pu le
C’est mon anniversaire, à la fin de la semaine[1]. Je suis désolé de couper l’herbe sous le pied de ceux
Nicolas Sarkozy semble ne rien aimer tant que brouiller les repères, faire bouger les lignes. Cela le rendrait imprévisible, unique.
Il a raison de donner dans ce combat d’arrière-garde, assumé. Les combats d’arrière-garde, magnifiquement romantiques, ont parfois l’écho délicieux de
C’était dans l’édito de Jacques Espérandieu dans le JDD de dimanche dernier. Au sujet de la popularité de Nicolas Sarkozy.
Sommaire de cette première livraison hebdomadaire : (i) vanité, (ii) capitalisme, (iii) euthanasie, (iv) « amendement ADN« Serait-ce, pour Muriel Barbery,
Je n’ai pas voté pour Nicolas Sarkozy en raison de sa politique d’immigration. J’ai voté pour lui malgré certains propos.