« La République ! »
16 juillet 2018 18 commentaires sur « La République ! »Je suis un intermittent du football, aux intervalles longs. Mais hier soir, cette équipe a transcendé le foot.
Je suis un intermittent du football, aux intervalles longs. Mais hier soir, cette équipe a transcendé le foot.
Depuis quelques années, il semble que la place de l’homme ne soit plus envisagée qu’en retranchement et en abstention.
Tout ne va pas toujours plus mal. Regardez le porno.
Blâmer ceux qui tendent une main secourable n’est pas le plus intuitif et les faits ne paraissent guère conciliants.
Pour illustrer les travers d’une loi qui n’en manquent vraisemblablement pas, certains ont choisi l’exemple de l’existence de Dieu. Je dis « banco », votez la loi et faites-moi la grâce de me poursuivre !
Les tribunaux manquent du simple nécessaire, la Justice se déshumanise ne voulant plus voir avocats ou justiciables. Pendant ce temps, l’Etat se pique de faire redécouvrir aux femmes leur sexualité.
Tu avais vingt ans, la vie devant toi, une petite amie, de bonnes études. Tant d’autres ne vivent que dans la poursuite de leur seul et petit bonheur. Alors pourquoi es-tu intervenu ce soir-là, pour défendre ce couple qui s’embrassait ?
« On ne voit plus d’hirondelles ». Ça m’embête de le reconnaître mais ma grand-mère avait raison. Aujourd’hui, dans La Vie oubliée, Johannes et Mahaut Hermann appellent au renfort pour la biodiversité.
C’est le bruit contre le sens. Angot contre les bénévoles en soins palliatifs. Quand la première diffame les seconds, c’est odieux, et inacceptable.
La République regarde avec une tendresse maternelle bloquer les universités. Elle est bonne mère. Jusqu’à ce que l’indulgence maternelle vire à la démission parentale.
Bravant les vents contraires. Emmanuel Macron a témoigné de la considération de la République envers les Français catholiques. C’est bienvenu et non, ce n’est pas une soumission de l’État à l’Église.
Vous ne direz plus « père », ni « mère ». Ni « monsieur », ni « madame ». Pourtant, « la règle doit avoir de la tendresse pour l’exception, mais l’exception ne doit pas chercher à devenir la règle. »
Les tribulations du petit peuple catholique en politique passionnent encore. En témoignent deux livres récents qui documentent une nouvelle attraction, au mieux conservatrice, au pire identitaire.
Arnaud Beltrame a porté le plus beau visage de la France. Par sa mort, il a vaincu le mal. Arnaud Beltrame l’a recouvert du manteau du Bien, il lui a imposé le silence.
De la naissance à la mort, aussi loin que mon esprit m’entraîne, je vois des femmes, leurs mains et leurs visages. Mains du service et visages de la grâce. Mains qui nous ont un jour accueillis à la lumière. Les mêmes mains qui nous apaisent quand vient le temps de partir, vers la nuit, une autre lumière peut-être.
A l’Unité de Soins Palliatifs de Puteaux, j’ai rencontré les visages de l’humanité et de la grâce.
Il serait presque cohérent que ce soit la droite qui soutienne l’euthanasie. La revendication vient pourtant de la gauche. Si l’on voit bien l’influence individualiste et libertaire, où sont passées en revanche l’égalité et la fraternité ?!
L’idée même paraît inconcevable à certains, la marque d’une faiblesse d’esprit, au mieux un exotisme. Les catholiques eux-mêmes s’interrogent sans cesse sur la manière de l’être. Retour sur cinq livres de cette rentrée littéraire, et spirituelle.
L’émission de télé-crochet « The Voice » connaît en France sa première polémique nationale. Le voile affiché de la candidate
Parce qu’un député est monté à la tribune vêtu d’un maillot de football, le bureau de l’Assemblée Nationale interdit… le port de signes religieux ostensibles en son sein. Cette mesure, qui bafoue une liberté fondamentale, participe d’une entreprise de relégation de la foi.