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25 avril 2007 59 commentaires sur 21 000 000Selon certaines sources, 21 000 000 de français n’auraient pas voté pour que le deuxième tour se fasse sur les
Selon certaines sources, 21 000 000 de français n’auraient pas voté pour que le deuxième tour se fasse sur les
Pour le troisième jour consécutif, la campagne est monopolisée par des questions d’alliance, de consignes de vote, de reports etc.
Au PS, on appelle ça débat, démocratie. Là où d’autres, mais ils sont mal intentionnés, verraient contradiction, retournement de veste,
Fort agacé. J’étais fort agacé hier devant les commentaires miséreux de deux journalistes de LCI, sur ce lendemain de premier
Au FN, la version officielle pour expliquer la défaite de dimanche est que les autres partis ont repris ses idées.
Rien ne va plus faites vos jeux… Vous voulez faire vos calculs vous-mêmes, torturer les combinaisons à droite, à gauche…
A cette heure, après une soirée électorale sympathique mais point délirante, je ressens une satisfaction véritable et une certaine confiance.
Un politique, au sortir du bureau de vote, vous dira qu’il a voté en pleine confiance. Il sourira. Il sera
Imaginons, un instant de raison, que François Bayrou soit absent du second tour. Quelle sera la teneur de son intervention
Le Figaro rapporte, sans en prendre d’ailleurs la mesure, des pratiques de dernière minute pour le moins étonnante de la
J’avais, dans un premier temps, pensé passer la soirée en famille. Traditionnellement, en effet, chez moi, une telle soirée, c’est
J’ai acheté ce matin Le Parisien/Aujourd’hui en France pour y lire un entretien entre Nicolas Sarkozy et les lecteurs du
On ne le croirait pas, mais c’est un évènement que l’on peut réitérer. C’est donc la deuxième fois que koztoujours
Jospin 22 avril 2002envoyé par FNGold
Peut-être cette bulle polémique vous a-t-elle échappé. Il en serait de celle-ci comme de nombreuses polémiques qui agitent les blogueurs
Attention, Koz vous livre là son plus beau calembour, particulièrement recherché.
Je crains d’avoir laissé percer, ne serait-ce qu’un instant, un instant de trop, peut-être, un peu de l’exaspération qui me
Merci à Alain Lambert de pointer les indiscrétions de Capital.fr. Deux d’entre elles ont attiré mon regard. La première :
J’ai entamé l’écriture de ce billet sur un banc de la gare du Puy-en-Velay. La veille, pendant plus de quatre
C’est vraiment celle où le programme est susceptible de varier en fonction d’alliances conclues après le scrutin ? Celle où